RADEFF Anne
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Réseaux de Christaller et réseaux médiévaux
Auteurs :RADEFF AnneAprès beaucoup d’autres, la thèse de Laurence Buchholzer-Rémy montre que le système des lieux rncentraux ne permet pas de comprendre la réalité. Il serait temps d’abandonner définitivement ce rnprétendu « modèle » mathématiquement faux appuyé sur une « théorie » réfutée.
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Désigner les villes. Le pouvoir des mots
Responsables:RADEFF AnneDate:Ven, 09/12/2003Lieu:Université de Marne-la-Vallée- Où s’arrête l’urbain, où commence le rural ?
- Comment désigne-t-on les villes (noms, adjectifs) ? Les villages ? Le passage de l’un à l’autre (exemple des villes déchues) ?
- Comment représente-t-on les villes (plans, cartes) ? Les villages ? -
Nommer les lieux. Centralité, centralisation et décentralités. Le pouvoir des mots
Auteurs :GADAL SébastienAuteurs :NICOLAS GeorgesAuteurs :RADEFF AnneAuteurs :BOLLIGER SabineAuteurs :GURVIL ClémentResponsables:RADEFF AnneDate:Lun, 09/20/2004Lieu:Université de Marne-la-Vallée- les relations entre la réalité, les objets construits par ceux qui l’observent et les mots désignant les lieux (noms propres et noms communs)
- les hiérarchies des noms donnés aux lieux, qui permettent de préciser les rapports dialectiques entre centralisation/ centralité et décentralités
- les liens entre les lieux-objets -
Géopont 2000
Auteurs :FERRIER J.-PAuteurs :GADAL SébastienAuteurs :HUBERT Jean-PaulAuteurs :MARCUS SolomonAuteurs :MORICONI–EBRARD FrançoisAuteurs :NICOLAS GeorgesAuteurs :RADEFF AnneAuteurs :REBOUR ThierryAuteurs :SERIOT PatrickResponsables:NICOLAS GeorgesSERIOT PatrickDate:Mer, 10/04/2000Lieu:Sion (Suisse)Public cible : Géographes, mathématiciens, historiens, linguistes, informaticiens
ISBN 2-88255-051-0
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Décentralité/Centralité : ordre ou désordre ?
Date de publication : 20-01-2011Auteurs :NICOLAS GeorgesAuteurs :RADEFF AnneActivité:professeursAdresse:En Europe, depuis le XVIIIe siècle, la notion de « centralité » a été considérée successivement ou simultanément comme « naturelle », « sociale », « économique », « rurale » et « urbaine ». Une première « théorie de la centralité » s’efforce d’intégrer toutes ces notions au milieu du XXe siècle en Allemagne. Ensuite, les recherches explosent dans les pays de langue anglaise pendant les années 60, dans les pays de langue française, espagnole et italienne dans les années 70, et enfin au Japon dans années 80, avant de se raréfier dans tous les pays. Récemment, cependant, elles sont redevenues d’actualité en histoire dans les pays de langue allemande où elles se rattachent directement aux théories initialement formulées en Allemagne au milieu du XXe siècle. Or, tous les types de « centralités » incluent une notion « d’ordre » considérée d’une part, comme la recherche d’une « relation intelligible » entre une « succession cohérente » de phénomènes perçus et d’autre part, un enchaînement reconstitué d’évènements qui peuvent être historiques. Mais cet « ordre central » est également « politique », soit que ses théoriciens cherchent à consolider l’ordre économique et social existant en l’aménageant de manière plus rationnelle, soit qu’ils projettent de le transformer. Cette interdépendance entre les idées scientifiques et les projets politiques des précurseurs de la « théorie de la centralité » est renforcée au XXe siècle par l’utilisation de la notion d’ordre métaphysique, racial ou commercial. Ceci étant, quel rôle joue la notion « d’ordre » pour comprendre ce qu’il est actuellement convenu d’appeler « théorie de la centralité » dont l’usage s’est généralisé et qui sert, entre autre, à interpréter les sociétés d’Ancien régime européennes aux XVIIe et XVIIIe ?